Café Aphrodite
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Message par Goumi Mar 21 Juin 2016 - 16:19

L’auteur :
Je me présente à vous sous le pseudo de Goumi (c’est le nom du désopilant chat du voisin).
En réalité je me prénomme Philippe et j’exerce un très beau métier : retraité, activité dont je ne me lasserai plus jamais. (Pourquoi n’ai-je pas fait ça plus tôt !) Comment en suis-je venu au Café d’Aphrodite ? Je suis correcteur (et parfois auteur) sur le site de Rêvebébé où j’ai sympathisé avec un autre correcteur (hors pair !) que vous connaissez sous le pseudo de Lioubov. C’est lui qui m’a dirigé vers vous.
J’ai été enthousiasmé par la qualité des textes, tant sur le fond que sur la forme, par l’absence d’une Charte pesante comme celle de Rvbb et par le principe de la soumission des textes aux membres inscrits qui en décideront l’acception ou le rejet. Sur Rvbb, on est obligé de tout prendre sauf si c’est HC. Bonjour les daubes.
Je souhaiterais publier chez vous le texte ci-dessous. Sa publication m’avait été refusée sur Rvbb pour raison d’offense à la Charte. Je vous donc laisse lire pour vous faire une opinion.



Titre : Une journée mouvementée.

Il sait qu’elle est seule lorsqu’il sonne à l’entrée de la maison, il sait que personne ne l’empêchera de mener à bien le projet qu’il s’est fixé.

« Bon, elle vient ouvrir ? » s’impatiente-t-il. Enfin ! Le déclic de la serrure, la porte qui s’ouvre. Lorsqu’elle le voit sur le palier, son visage se ferme :

— Qu’est-ce que tu veux ?
— Te baiser.
— Tu te fous de moi ? Casse-toi, imbécile !

Il est plus rapide qu’elle et ne lui laisse pas le temps de refermer la porte. D’une solide poussée, il ouvre le passage et pénètre dans l’entrée. Elle a dû reculer pour ne pas être heurtée par le battant. Mais elle se dresse devant lui dans l’entrée, comme pour faire barrage, droite comme un i, les mains sur les hanches, ivre de colère. Elle hurle :

— Non mais, c’est quoi ces manières ? Tu te crois où ? Tu ressors illico ! Du balai !
— Oh que non ! Je suis venu pour te faire jouir, car je sais que tu aimes la bite.
— Hein ? C’est quoi, ce langage de minus ? dit-elle en commençant néanmoins à battre légèrement en retraite, comme par un réflexe de prudence.
— Te sauve pas, je veux t’apprendre le bonheur.

Il se jette sur elle, la ceinture et la soulève sans lui laisser le temps d’amorcer un mouvement de fuite. Serrée contre lui, les bras coincés, elle tente de se dégager en se trémoussant mais il est beaucoup trop fort pour elle. Elle s’agite, hurle, tente de le mordre, de lui donner des coups de pied, mais rien n’y fait.

— Inutile de t’agiter, tu es à moi. Tu verras, ça va te plaire.
— Lâche-moi, t’as pas le droit de te conduire comme ça avec une femme.
— T’as raison, mais je le fais quand même.

Elle reprend le contrôle d’elle-même, fait le vide en elle et se relâche totalement ; par mimétisme il relâche également son étreinte. Elle en saisit l’opportunité et parvient, par chance, à s’échapper du carcan des bras en se laissant tomber au sol. Elle n’arrive pas à se remettre debout et se précipite à quatre pattes en direction du salon, tout en cherchant à se relever. Il la ceinture à nouveau et la soulève, ses jambes battant dans le vide. Elle se débat avec l’énergie de la colère tandis qu’il la porte vers la chambre d’amis qu’il ouvre d’un coup de pied.

— Hé ! Tu vas pas…
— Si, si, justement ! dit-il en la jetant sur le lit et, dans le mouvement, la retourne pour la mettre sur le dos.

Là encore, elle n’est pas assez rapide, et n’a pas le temps de se relever. Assis à califourchon sur elle, il lui croise les poignets d’une main puissante pour les immobiliser sur ses seins. À présent, il sourit à sa proie qui écume de rage.

— Ce que tu fais là est une agression, c’est puni par la loi. Compte sur moi pour porter plainte.
— Est-ce que je t’ai le moins du monde frappée, brutalisée ? Je ne veux que ton bonheur, voyons ! Et je te l’ai déjà dit, tu vas aimer ça.
— Comment ça, je vais aimer ? T’as l’intention d’aller jusqu’où ?
— À ton avis, tu es couchée sur un lit avec un homme sur toi… réfléchis un peu, ça va se terminer comment ? Tu crois que ma bite va laisser passer une occasion pareille ?
— Tu veux… tu veux me violer ?
— Oh le vilain mot ! Je veux simplement te faire partager un moment de plaisir même si c’est un peu contre ton gré, du moins au début…
— Tu es le dernier des salauds ! Bon… relâche-moi et fous le camp, je ne dirai rien, on oubliera tout, je te promets, dit-elle. Ne fais pas le con, ne me fait pas ça, je ne veux pas être violée, j’en crèverais de honte.
— De honte ? Tout au plus de plaisir. Et en plus, ce lit à barreaux, c’est une bénédiction !
— Ça veut dire quoi, le lit à barreaux ?
— Regarde, j’ai prévu à l’avance tout le matériel dont j’aurai besoin…

Il sort trois cordelettes de la poche de sa veste et les lui agite sous les yeux. Elle réalise ce qu’il compte en faire et repart en efforts désordonnés pour se libérer. Peine perdue. Il a tôt fait d’attacher ses poignets l’un après l’autre aux montants métalliques de la tête de lit. Elle tire désespérément sur ses bras écartés, mais en vain.

— Salaud, t’es fier de toi ? Détache-moi tout de suite !
— Attends, je n’ai pas fini.

Il se couche sur ses jambes et avec la troisième cordelette, lui relie la cheville droite à un barreau du bas :

— Pour des raisons pratiques, je ne t’attache pas les deux. C’est pour ton confort et pour le mien. Tu es prête, belle enfant ?

Un flot d’insultes lui répond, il n’en a cure. Il agit lentement, il veut savourer, l’un après l’autre, chaque étape du traitement qu’il va lui imposer, Il s’offre même le plaisir de lui palper le sexe à travers les vêtements, comme en manière d’acompte. À califourchon sur ses cuisses. il se penche légèrement sur son visage déformé par la colère :

— Passons aux choses sérieuses. Tu crois vraiment que t’as besoin d’être habillée pour savourer une queue bien dure dans ta chatte de baiseuse ? Tu aimes la bite, n’est-ce pas, non ? Tu adores être baisée ? Dis-le-moi !
— Tu peux crever ! Aucune fille ne voudrait baiser avec une ordure comme toi ! Tu ne saurais même pas faire jouir une chèvre !
— Une chèvre non, mais une vicieuse comme toi, oui. Voyons-voir… par où en premier ? Ah oui, le cutter…

Elle le voit sortir un cutter de la même poche que les cordelettes et commence à prendre peur. Son visage se fige.

— C’est quoi, ces âneries, pourquoi un cutter ?
— Le cutter peut s’avérer un outil très utile dans la situation qui nous préoccupe, ne serait-ce que pour te rendre docile. Tu veux une démonstration ?

Il pose le nez de l’objet contre sa joue. La lame est encore dans son logement de plastique. Elle tourne la tête pour lui échapper, mais l’engin suit le mouvement. Puis il pose deux doigts sur ses lèvres.

— Je te repose la question : tu aimes être baisée ?
— Crève, connard !
— Et vulgaire, avec ça. Tu sens le sens, le cutter ?

Elle entend le clic de la lame et sent une légère piqûre contre sa joue. Cette fois, la panique l’envahit, cela va trop loin :

— Tu vas me dire que tu aimes la queue et que t’es une baiseuse.

Nouvelle piqûre, légère. Malgré elle et d’un air abattu :

— …j’aime… j’aime la queue.
— Et tu l’aimes où ? Réponds ! Le cutter attend…
— … dans la chatte.
— Et tu l’aimes comment ? longue, dure, épaisse ? Dis-le.
— …longue…dure.
— Et encore ?
— …Épaisse. Salaud, tu n’es qu’un salaud, dit-elle en pleurant.
— T’as oublié d’avouer que t’es une baiseuse et une salope. Vite, il va piquer…
— …je suis une baiseuse…je suis une salope.
— Ben voilà ! Et maintenant, tu ouvres gentiment la bouche, tu aspires les deux doigts et tu commences à les sucer comme une queue. Ouvre ! dit-il en effleurant du cutter. Inutile de résister, tu finiras par les sucer. Ouvre ! Et ne t’avise pas de mordre !

Elle ouvre la bouche. Les deux doigts l’investissent et tournent autour de sa langue. Elle ressent à nouveau la pointe et se résigne : sa langue se met à tourner autour des doigts comme autour d’un gland et l’on entend un bruit de succion.

— Tu vois que tu sais sucer quand on te demande gentiment… Mais le cutter a encore d’autres avantages, regarde :

Elle entend la lame sortir et la panique le cède à la terreur. Il ne va pas… ? Non. La lame coupe les boutons de son chemisier et passe sous le tissu qu’elle lacère en le déchirant méthodiquement, découvrant son buste. Elle coupe ensuite la pièce de tissu qui relie les deux bonnets du soutien-gorge puis les bretelles. Son bourreau pose le cutter près de lui.

— Tu es splendide et tes seins sont bien plus agréables que ta mauvaise humeur. Tu permets ?

Il empaume les deux globes de chair ferme et fait rouler les tétons sous ses doigts. La caresse est savante, méticuleuse et pleine d’attentions. Elle ferme les yeux, elle sait qu’elle a les seins très sensibles, trop sensibles, elle sait qu’il va lui être difficile de résister.

— Ça n’a pas l’air de te déplaire ? Au fond, je te rends service : je t’apprends à découvrir la vraie salope que tu es.

Stoïque et ivre de rage, elle n’a d’autre issue que de subir. Il la domine toujours et s’accorde le temps de savourer le tableau. Il caresse ses joues, son cou et ses seins. Des caresses très douces qui la mettent mal à l’aise. Puis sa main s’écrase sur sa bouche pour lui plaquer la tête tandis qu’il se penche vers ses seins pour sucer les tétons qui durcissent. Il relève la tête et plonge son regard dans le sien :

— Tu vois comme ça vient ? Et comme tu réagis ? Tu veux pas, mais ton corps veut. Il ne tardera pas à en demander plus.
— Salaud, c’est facile pour toi de tripoter une femme attachée, t’as aucun mérite, tu devrais avoir honte. Mais t’as assez joué maintenant, t’as vu ce que tu voulais voir, détache-moi.
— Je suis loin d’avoir vu tout ce que je veux voir et toi non plus.
— C’est des conneries de faux-cul, tout ça. Tu débarques là comme une sous-merde et tu t’imagines que tu vas me faire jouir en me violant. T’as tout faux, tu n’y arriveras pas. Ce sera comme si tu baisais un bout de bois.

Il ne répond pas et se lève du lit. Un immense espoir envahit la proie : la fin du cauchemar ?

— Ah, enfin, tu deviens raisonnable. Oui, détache-moi, ça a assez duré.

Il lui sourit et se déshabille sans hâte. Il est vite nu devant sa victime paralysée. Sa verge est déjà dressée, éloquente. Elle n’a jamais pu s’empêcher d’être fascinée par la vision d’un sexe en érection. Même tenaillée par la peur, elle reste hypnotisée par l’engin.

— Tu vois comme elle t’aime déjà ? Tu peux l’embrasser, dit-il en remontant sur le lit.

Il s’assied sur ses seins, approche son membre de ses lèvres en lui soulevant la tête pour mettre la bouche en bonne position. Elle ne veut pas, tout son être se révolte, elle garde la bouche obstinément close. La pointe du cutter sur sa joue, légèrement… Elle n’a d’autre choix que de céder. La verge chaude et dure avance et pénètre dans sa bouche puis se retire, puis revient à la charge.

— Fais tourner ta langue et suce, tu aimes sucer, j’en suis sûr.

Les yeux fermés, elle s’exécute. « Pourvu qu’il se vide pas dans ma gorge. » espère-t-elle. Elle a peur d’étouffer. Le dard a des dimensions honorables ce qui ne lui facilite pas la tâche mais elle fait de son mieux pour ne pas avoir à subir le cutter. Elle fait aussi de son mieux parce que… oui, elle aime sucer. Elle se prend malgré elle au jeu. En se maudissant, elle ne peut s’empêcher de jouer avec sa langue autour de l’intrus. Elle sent soudain son bourreau se contracter et grogner. La crème chaude et douçâtre gicle dans sa bouche. Elle déglutit à son corps défendant. Des larmes lui coulent. Il retire sa verge, la tient d’une main et de l’autre lui soulève la tête :

— Tu nettoies !

Elle s’applique. Puis lui-même se soulève pour reculer plus bas sur son ventre. Du bout du doigt, il ramasse quelques gouttes blanches aux commissures de ses lèvres et lui enduit les tétons en mouvements circulaires. Cela l’électrise et la trahison de son corps la stupéfie et l’enrage. Plus grave, elle sent une chaleur naître dans son bas-ventre. Elle se promet de rester inerte, de ne rien laisser voir, de bannir la moindre signe d’émotion physique : « Comme un bout de bois ! Comme un bout de bois ! Comme… » se répète-t-elle.

Il descend d’elle et s’installe à ses côtés, à genoux sur le matelas du grand lit. Il l’admire, il la trouve belle : « Un corps de déesse ! ». Ce qui l’enchante, c’est que ce morceau de roi a encore bien des trésors à dévoiler. Il se penche pour tirer de la poche de sa veste jetée au sol une paire de ciseaux. Elle croit pouvoir profiter de ce qu’il la quitte des yeux pour se défaire mais les cordelettes ne cèdent pas et la vue du cutter levé la ramène immédiatement à la sagesse.

— Ouvre-toi, écarte ta jambe libre. Voilà, comme ça. On va pouvoir jouer à la couturière, comme les petites filles. Et la petite fille va me montrer le trésor qu’elle cache dans sa culotte. Après, on jouera au docteur, tu veux bien ? Je te mettrai mon thermomètre. C’est à ça qu’on joue avec une petite fille vicieuse. Mais elle va d’abord me montrer sa chatte.
— Crève, salaud !
— Oh le vilain mot ! Mais non, ne te tortille pas, ça ne sert à rien et tu n’as aucune raison de refuser de montrer les choses merveilleuses dont tu peux être fière. Tiens, regarde comment on opère la mise à mort d’un pantalon de jogging.

Les ciseaux entament l’élastique à la taille et découpent le tissu jusqu’à la cheville, le long de la jambe droite. Elle se remet à pleurer, mais rien n’y fait : les ciseaux procèdent de la même manière avec la jambe gauche du pantalon. Il ne lui reste plus qu’à tirer vers lui le pantalon coincé sous les fesses de sa propriétaire et le jeter du lit.
Il marque alors à nouveau un temps d’arrêt :

— Tu es magnifique. Les anges et les démons se massacreraient pour te posséder.

Ses mains parcourent en caresses douces et légères le corps immobilisé, partant des chevilles, remontant sur la face interne et si tendre des cuisses, flattant le ventre, s’attardant sur les seins, puis jusqu’à son visage. « Ces mains ! nooon ! oh le salaud !». Elle se sent sur la pente dangereuse et se trémousse inutilement pour échapper aux caresses. Puis les mains redescendent pour arriver à la fourche de son corps. Elles s’arrêtent sur le pubis, puis descendent encore un peu… Elle essaie de resserrer les cuisses lorsqu’une des mains arrive au but et malaxe la chatte à travers le slip.

— Il reste une petite formalité, dit-il en reprenant sa paire de ciseaux. Ça va, tu tiens la route ? Je me suis réservé le meilleur pour la fin. Je m’inquiète pour toi : tu n’as pas un peu chaud entre les cuisses ? Je pense que tu es trop couverte.

Pendant qu’elle l’insulte, il découpe le slip bleu au niveau de chaque hanche et découvre enfin la merveille en rabattant le pan avant sur la couette du lit. Les ciseaux rejoignent la moquette. Il passe sa gauche main sous son genou gauche et tire la jambe vers lui pour bien ouvrir lui les cuisses. Ce qu’il découvre est fabuleux, il en est ébloui, il aimera ça jusqu’à la fin du monde : une douce prairie châtain sur une colline bombée, des lèvres charnues, pulpeuses et bien dessinées autour d’une fente riche de promesses.

— Oh, cette chatte ! Elle est déjà belle quand elle est encore sous le slip. Mais là… Et elle a dû en connaître pas mal, des bites ! Raconte un peu, je veux l’entendre !
— ….

Il lui montre le cutter. Les larmes aux yeux, elle murmure :

— …oui, oui, des bites…plusieurs.
— Beaucoup ou pas assez ? Avoue tout, sinon …
— … pas assez… pas assez… C’est ça que tu voulais entendre ? T’es un porc !

Le trésor est à portée de sa main. Elle tressaille lorsqu’elle sent les doigts la toucher. Des doigts qui lui coincent les lèvres sur son bouton et font rouler celui-ci avec délicatesse. Elle pressent qu’elle va connaître un problème pour conserver l’impassibilité qu’elle veut s’imposer. Ce salaud sait y faire.

La situation empire lorsqu’un doigt s’immisce entre les grandes lèvres et parcourt la fente inlassablement, de haut en bas, de bas en haut. Elle craint alors de ne pouvoir contenir les contractions involontaires de son bassin qui ne tarderont pas à se manifester. La situation dégénère lorsque le doigt atteint son bouton qui répond d’instinct en grossissant et durcissant encore plus. Elle essaie de faire le vide dans son esprit, mais la tentative reste vaine ; d’autant plus vaine que deux doigts de l’autre main passée sous sa cuisse maintenue ouverte, s’enfoncent dans son fourreau de chair tendre où ils entament un insupportable mouvement de piston.

— Tu commences sérieusement à mouiller. Un bout de bois, disais-tu ? Non, un vrai radeau ! Pour une femme qui ne veut pas collaborer, tu te poses là, tu es toute trempée. Je suis content que tu réagisses sainement.
— Je t’en supplie, arrête ! Il est encore temps. Nooon, ne me fais pas ça ! Je veux pas, je veux pas !
— Menteuse, dit-il en accélérant les mouvements de piston. Mais oui… là… je te sens venir, tes cuisses tremblent…ton bassin se soulève…c’est bien… oui, tu viens ! laisse-toi aller...oui…jouis !

Elle est débordée par la vague de plaisir. Le visage hagard, yeux grand ouverts, elle se tétanise, tente de s’arc-bouter et pousse une plainte qui se termine en sanglots. Une abondante eau du plaisir a inondé le dessus de la couette.

À partir de ce moment-là, les choses s’accélèrent. Il est déjà sur elle, entre ses cuisses. Il tient son membre pour bien le positionner entre les grandes lèvres congestionnées.

— Comme un bout de bois, t’as dit ? On va voir si le bout de bois résiste à la deuxième attaque. Et tu vas d’abord, ma toute belle, demander la queue.
— Jamais, salaud, jamais !
— Le cutter ?
— …
— Demande la queue !

Elle se remet à pleurer et, entre deux sanglots, abdique :

— …Oui, la queue ! La queue, sale porc ! Termine ton boulot dégueulasse et qu’on en finisse, ordure !

Elle ferme les yeux et sent l’engin volumineux la pénétrer sans ménagement. Cette queue qu’elle avait, malgré son stress, admirée l’instant d’avant, elle la sent la remplir, elle la savoure contre son gré. C’est une déferlante de coups de reins brutaux qui se succèdent.
Et ces obscénités murmurées à son oreille, qui l’excitent :

— Tu le sens, le thermomètre du bon docteur, tu sens comme tu aimes une queue, quand elle rentre et sort, bien dure, bien chaude… lààààà…. Encore…. Jusqu’au fond ! Tu sais très bien que tu es une salope qui adore se faire queuter, alors savoure. Hein c’est bon, ça… Ouvre encore les cuisses ! Viens chercher la bite, viens… pousse… pousse en avant.

Elle sait qu’elle n’y résistera pas, elle se sent aspirée vers les sommets. Alors autant oublier effroi et indignation, et savourer une chose certes imposée de la manière la plus abjecte, mais qu’elle aime par-dessus tout. Elle s’ouvre encore et pousse en avant. Au fur et à mesure du pilonnage, elle s’abandonne complètement et la brusque giclée de sperme la transporte au-delà de l’horizon du plaisir. Puis la fièvre retombe.

Il est allongé sur le flanc à côté d’elle. Elle est toujours couchée sur le dos, attachée au lit, cuisses et bras écartés. Elle semble récupérer. Yeux mi-clos, elle se demande comment cela va se terminer. Elle craint la suite : va-t-il la sodomiser ?

— T’es plus qu’un bon coup. Je crois que je vais remettre ça tellement ça m’a plu. Une chatte accueillante comme la tienne en redemande. Mais d’abord, je vais un peu bavarder avec toi. On va voir si ça t’excite d’entendre et de dire des cochonneries en te faisant branler. J’ai quelque chose qui va nous aider.

Il plonge à nouveau vers sa veste et en sort un honorable godemiché ainsi qu’un flacon de lubrifiant dont il verse une partie sur l’engin qu’il enfonce ensuite, par délicats à-coups, dans le vagin ouvert. Elle grimace mais ne se contracte pas pour s’opposer à l’intrus, d’ailleurs elle ne le pourrait plus. Elle se laisse faire en feignant l’impassibilité. De toute façon, elle n’en est plus à une avanie près. Peu à peu, les mouvements de l’engin prennent un rythme qu’elle commence à savourer…à vraiment savourer…Jamais elle n’avait été godée. Elle se mord les lèvres pour étouffer le moindre gémissement.

— Raconte-moi : en dehors de ton mari, t’as baisé avec qui, la dernière fois ?

Elle sait qu’avec un pareil supplice entre ses cuisses, elle n’arrivera pas garder le silence. Elle tente le mensonge.

— Avec… avec personne.
— Menteuse. T’as dit que t’en avais déjà connu plusieurs bites. Tu sais comment on les punit, les menteuses ?

Il met le vibrateur en marche. Elle tressaille, les vibrations lui dévastent la chatte. C’est abominablement délicieux.

— Avec qui ?
— Per…personne… tu me rends folle, t’es un salaud, dit-elle en agitant la tête de tous côtés.

Il augmente la puissance des vibrations et lui resserre les cuisses autant que faire se peut.

— Avec qui, salope ?
— Avec… avec ton copain…,

Elle succombe, elle ne peut plus opposer aucune résistance.

— Antoine ou Paul ?
— Antoi… euh…Paul…
— T’as baisé avec les deux ?
— ….

Il augmente encore le volume des vibrations.

— Avec les deux ?
— ….oui… ouiiii…avec les deux.
— Les deux en même temps ?
— …ouiiii.
— T’as aimé leurs bites ?
— …arrr…oui…j’ai aimé… oh putain, c’était boooon…
— Tu les as sucés ?
— …oui…oui… j’les ai sucés.
— Ils t’ont giclé le sperme où ? Où, dis-le !
— …dans la bouche…dans la chatte…sur les nichons.
— Ils t’ont bouffé le cul avant de te tringler, ou après ?
— …a…avant… avant et après.
— Ils t’ont fait jouir ?
— …oui…oui… fait jouir …beaucoup…beaucoup de fois. Salauuuud, t’aurais aimé voir ça, hein ?… Oh…ça vient… ouiiii… ça vient… Je jouiiiiis !

Tétanisée, arcboutée, secouée de spasmes, elle hurle et défonce les nuages.

Sans attendre, il sort le godemiché du vagin et se recouche sur elle. Il lui enfonce brutalement la queue et la pilonne comme une bête. C’est reparti, mais elle est tellement folle de baise qu’à ce moment plus rien d’autre ne compte pour elle.



Après la tempête.

— Je dois te féliciter, j’ai rarement joui autant de fois et aussi fort. T’as eu une idée de génie en proposant ce cinéma pour varier le quotidien. Je n’aurais pas cru. C’est vrai que je t’avais plusieurs fois avoué ce fantasme, mais là, t’as été génial. Merci, merci, t’es un amour de mari, dit-elle en l’embrassant. Mais maintenant se pose la question : qu’est-ce qu’on fera pour imaginer encore mieux, la prochaine fois ?
— J’y ai déjà pensé, dit-il en lui caressant d’un doigt le mont de Vénus, ça te dirait de te faire violer par plusieurs gars ?
— Plusieurs ? Oh le salaud !... Chiche ? Quand ?

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Message par Lioubov Mar 21 Juin 2016 - 16:26

Sois le bienvenu, Philippe.
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Message par Goumi Mar 21 Juin 2016 - 16:39

Bienvenu et accueilli par toi ! Le plaisir est double. Merci

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Message par hpassage Mar 21 Juin 2016 - 20:16

Pas mal du tout, j'aime bien les dialogues.

Bienvenue Goumi Smile
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Message par charline88 Mer 22 Juin 2016 - 4:53

Bonjour au chat de la voisine ...
Goumi c'est aussi en langage flic une matraque en caoutchouc non ? Dure et flexible à la fois  ? Hum !!!
Je vais prendre le temps de lire tout ceci afin de me faire une idée...
En attendant bienvenue... au Café d'Aphrodite. cheers
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Message par Lioubov Mer 22 Juin 2016 - 6:15

Une journée mouvementée


Il sait qu’elle est seule lorsqu’il sonne à l’entrée de la maison, il sait que personne ne l’empêchera de mener à bien le projet qu’il s’est fixé.

« Bon, elle vient ouvrir ? » s’impatiente-t-il. Enfin ! Le déclic de la serrure, la porte qui s’ouvre. Lorsqu’elle le voit sur le palier, son visage se ferme.

— Qu’est-ce que tu veux ?
— Te baiser.
— Tu te fous de moi ? Casse-toi, imbécile !

Il est plus rapide qu’elle et ne lui laisse pas le temps de refermer la porte. D’une solide poussée, il ouvre le passage et pénètre dans l’entrée. Elle a dû reculer pour ne pas être heurtée par le battant. Mais elle se dresse devant lui dans l’entrée, comme pour faire barrage, droite comme un I, les mains sur les hanches, ivre de colère. Elle hurle :

— Non mais, c’est quoi ces manières ? Tu te crois où ? Tu ressors illico ! Du balai !
— Oh que non ! Je suis venu pour te faire jouir, car je sais que tu aimes la bite.
— Hein ? C’est quoi, ce langage de minus ? dit-elle en commençant néanmoins à battre légèrement en retraite, comme par un réflexe de prudence.
— Te sauve pas, je veux t’apprendre le bonheur.

Il se jette sur elle, la ceinture et la soulève sans lui laisser le temps d’amorcer un mouvement de fuite. Serrée contre lui, les bras coincés, elle tente de se dégager en se trémoussant mais il est beaucoup trop fort pour elle. Elle s’agite, hurle, tente de le mordre, de lui donner des coups de pied, mais rien n’y fait.

— Inutile de t’agiter, tu es à moi. Tu verras, ça va te plaire.
— Lâche-moi, t’as pas le droit de te conduire comme ça avec une femme.
— T’as raison, mais je le fais quand même.

Elle reprend le contrôle d’elle-même, fait le vide en elle et se relâche totalement ; par mimétisme il relâche également son étreinte. Elle en saisit l’opportunité et parvient, par chance, à s’échapper du carcan des bras en se laissant tomber au sol. Elle n’arrive pas à se remettre debout et se précipite à quatre pattes en direction du salon, tout en cherchant à se relever. Il la ceinture à nouveau et la soulève, les jambes battant dans le vide. Elle se débat avec l’énergie de la colère tandis qu’il la porte vers la chambre d’amis qu’il ouvre d’un coup de pied.

— Hé ! Tu vas pas…
— Si, si, justement ! dit-il en la jetant sur le lit et, dans le mouvement, la retourne pour la mettre sur le dos.

Là encore, elle n’est pas assez rapide, et n’a pas le temps de se relever. Assis à califourchon sur elle, il lui croise les poignets d’une main puissante pour les immobiliser sur ses seins. À présent, il sourit à sa proie qui écume de rage.

— Ce que tu fais là est une agression, c’est puni par la loi. Compte sur moi pour porter plainte.
— Est-ce que je t’ai le moins du monde frappée, brutalisée ? Je ne veux que ton bonheur, voyons ! Et je te l’ai déjà dit, tu vas aimer ça.
— Comment ça, je vais aimer ? T’as l’intention d’aller jusqu’où ?
— À ton avis, tu es couchée sur un lit avec un homme sur toi… réfléchis un peu, ça va se terminer comment ? Tu crois que ma bite va laisser passer une occasion pareille ?
— Tu veux… tu veux me violer ?
— Oh, le vilain mot ! Je veux simplement te faire partager un moment de plaisir, même si c’est un peu contre ton gré ; du moins, au début…
— Tu es le dernier des salauds ! Bon… relâche-moi et fous le camp, je ne dirai rien, on oubliera tout, je te promets, dit-elle. Ne fais pas le con, ne me fais pas ça, je ne veux pas être violée, j’en crèverais de honte.
— De honte ? Tout au plus de plaisir. Et en plus, ce lit à barreaux, c’est une bénédiction !
— Ça veut dire quoi, « ce lit à barreaux » ?
— Regarde : j’ai prévu à l’avance tout le matériel dont j’aurai besoin…

Il sort trois cordelettes de la poche de sa veste et les lui agite sous les yeux. Elle réalise ce qu’il compte en faire et repart en efforts désordonnés pour se libérer. Peine perdue. Il a tôt fait d’attacher ses poignets l’un après l’autre aux montants métalliques de la tête de lit. Elle tire désespérément sur ses bras écartés, mais en vain.

— Salaud, t’es fier de toi ? Détache-moi tout de suite !
— Attends, je n’ai pas fini.

Il se couche sur ses jambes et avec la troisième cordelette, lui relie la cheville droite à un barreau du bas.

— Pour des raisons pratiques, je ne t’attache pas les deux. C’est pour ton confort et pour le mien. Tu es prête, belle enfant ?

Un flot d’insultes lui répond ; il n’en a cure. Il agit lentement. Il veut savourer, l’un après l’autre, chaque étape du traitement qu’il va lui imposer. Il s’offre même le plaisir de lui palper le sexe à travers les vêtements, comme en manière d’acompte. À califourchon sur ses cuisses, il se penche légèrement sur son visage déformé par la colère.

— Passons aux choses sérieuses. Tu crois vraiment que t’as besoin d’être habillée pour savourer une queue bien dure dans ta chatte de baiseuse ? Tu aimes la bite, n’est-ce pas, non ? Tu adores être baisée ? Dis-le-moi !
— Tu peux crever ! Aucune fille ne voudrait baiser avec une ordure comme toi ! Tu ne saurais même pas faire jouir une chèvre !
— Une chèvre, non, mais une vicieuse comme toi, oui. Voyons voir… par où en premier ? Ah oui, le cutter…

Elle le voit sortir un cutter de la même poche que les cordelettes et commence à prendre peur. Son visage se fige.

— C’est quoi, ces âneries ? Pourquoi un cutter ?
— Le cutter peut s’avérer un outil très utile dans la situation qui nous préoccupe, ne serait-ce que pour te rendre docile. Tu veux une démonstration ?

Il pose l’objet contre sa joue ; la lame est encore dans son logement de plastique. Elle tourne la tête pour lui échapper, mais l’engin suit le mouvement. Puis il pose deux doigts sur ses lèvres.

— Je te repose la question : tu aimes être baisée ?
— Crève, connard !
— Et vulgaire, avec ça. Tu sens le sens, le cutter ?

Elle entend le clic de la lame et sent une légère piqûre contre sa joue. Cette fois, la panique l’envahit, cela va trop loin !

— Tu vas me dire que tu aimes la queue et que t’es une baiseuse.

Nouvelle piqûre, légère. C’est bien malgré elle, et d’un air abattu qu’elle admet :

— … j’aime… j’aime la queue.
— Et tu l’aimes où ? Réponds ! Le cutter attend…
— … dans la chatte.
— Et tu l’aimes comment ? Longue, dure, épaisse ? Dis-le.
— … longue… dure.
— Et encore ?
— … épaisse. Salaud ! Tu n’es qu’un salaud ! dit-elle en pleurant.
— T’as oublié d’avouer que t’es une baiseuse et une salope. Vite, il va piquer…
— … je suis une baiseuse… je suis une salope.
— Ben voilà ! Et maintenant, tu ouvres gentiment la bouche, tu aspires les deux doigts et tu commences à les sucer comme une queue. Ouvre ! dit-il en effleurant du cutter. Inutile de résister, tu finiras par les sucer. Ouvre ! Et ne t’avise pas de mordre !

Elle ouvre la bouche. Les deux doigts l’investissent et tournent autour de sa langue. Elle ressent à nouveau la pointe et se résigne : sa langue se met à tourner autour des doigts comme autour d’un gland, et l’on entend un bruit de succion.

— Tu vois que tu sais sucer quand on te demande gentiment… Mais le cutter a encore d’autres avantages ; regarde.

Elle entend la lame sortir, et la panique le cède à la terreur. « Il ne va pas… ? » Non. La lame coupe les boutons de son chemisier et passe sous le tissu qu’elle lacère en le déchirant méthodiquement, découvrant son buste. Elle coupe ensuite la pièce de tissu qui relie les deux bonnets du soutien-gorge, puis les bretelles. Son bourreau pose le cutter près de lui.

— Tu es splendide, et tes seins sont bien plus agréables que ta mauvaise humeur. Tu permets ?

Il empaume les deux globes de chair ferme et fait rouler les tétons sous ses doigts. La caresse est savante, méticuleuse et pleine d’attentions. Elle ferme les yeux ; elle sait qu’elle a les seins très sensibles, trop sensibles ; elle sait qu’il va lui être difficile de résister.

— Ça n’a pas l’air de te déplaire ? Au fond, je te rends service : je t’apprends à découvrir la vraie salope que tu es.

Stoïque et ivre de rage, elle n’a d’autre issue que de subir. Il la domine toujours et s’accorde le temps de savourer le tableau. Il caresse ses joues, son cou et ses seins. Des caresses très douces qui la mettent mal à l’aise. Puis sa main s’écrase sur sa bouche pour lui plaquer la tête tandis qu’il se penche vers ses seins pour sucer les tétons qui durcissent. Il relève la tête et plonge son regard dans le sien.

— Tu vois comme ça vient ? Et comme tu réagis ? Tu veux pas, mais ton corps veut. Il ne tardera pas à en demander plus.
— Salaud ! C’est facile pour toi de tripoter une femme attachée ; t’as aucun mérite, tu devrais avoir honte. Mais t’as assez joué maintenant, t’as vu ce que tu voulais voir. Détache-moi.
— Je suis loin d’avoir vu tout ce que je veux voir, et toi non plus.
— C’est des conneries de faux-cul, tout ça. Tu débarques là comme une sous-merde et tu t’imagines que tu vas me faire jouir en me violant. T’as tout faux, tu n’y arriveras pas. Ce sera comme si tu baisais un bout de bois.

Il ne répond pas et se lève du lit. Un immense espoir envahit la proie : la fin du cauchemar ?

— Ah, enfin, tu deviens raisonnable. Oui, détache-moi, ça a assez duré.

Il lui sourit et se déshabille sans hâte. Il est vite nu devant sa victime paralysée. Sa verge est déjà dressée, éloquente. Elle n’a jamais pu s’empêcher d’être fascinée par la vision d’un sexe en érection. Même tenaillée par la peur, elle reste hypnotisée par l’engin.

— Tu vois comme elle t’aime déjà ? Tu peux l’embrasser, dit-il en remontant sur le lit.

Il s’assied sur ses seins, approche son membre de ses lèvres en lui soulevant la tête pour mettre la bouche en bonne position. Elle ne veut pas. Tout son être se révolte. Elle garde la bouche obstinément close. La pointe du cutter sur sa joue, légèrement… Elle n’a d’autre choix que de céder. La verge chaude et dure avance et pénètre dans sa bouche puis se retire, puis revient à la charge.

— Fais tourner ta langue et suce. Tu aimes sucer, j’en suis sûr.

Les yeux fermés, elle s’exécute. « Pourvu qu’il se vide pas dans ma gorge… » espère-t-elle. Elle a peur d’étouffer. Le dard a des dimensions honorables, ce qui ne lui facilite pas la tâche, mais elle fait de son mieux pour ne pas avoir à subir le cutter. Elle fait aussi de son mieux parce que… oui, elle aime sucer. Elle se prend malgré elle au jeu. En se maudissant, elle ne peut s’empêcher de jouer avec sa langue autour de l’intrus. Elle sent soudain son bourreau se contracter et grogner. La crème chaude et douçâtre gicle dans sa bouche. Elle déglutit, à son corps défendant. Des larmes lui coulent. Il retire sa verge, la tient d’une main et de l’autre lui soulève la tête.

— Tu nettoies !

Elle s’applique. Puis lui-même se soulève pour reculer plus bas sur son ventre. Du bout du doigt, il ramasse quelques gouttes blanches aux commissures de ses lèvres et lui en enduit les tétons en mouvements circulaires. Cela l’électrise, et la trahison de son corps la stupéfie et la fait enrager. Plus grave, elle sent une chaleur naître dans son bas-ventre. Elle se promet de rester inerte, de ne rien laisser voir, de bannir la moindre signe d’émotion physique. « Comme un bout de bois ! Comme un bout de bois ! Comme… » se répète-t-elle.

Il descend d’elle et s’installe à ses côtés, à genoux sur le matelas du grand lit. Il l’admire, il la trouve belle. « Un corps de déesse ! » Ce qui l’enchante, c’est que ce morceau de roi a encore bien des trésors à dévoiler. Il se penche pour tirer de la poche de sa veste jetée au sol une paire de ciseaux. Elle croit pouvoir profiter de ce qu’il la quitte des yeux pour se défaire, mais les cordelettes ne cèdent pas et la vue du cutter levé la ramène immédiatement à la sagesse.

— Ouvre-toi, écarte ta jambe libre. Voilà, comme ça. On va pouvoir jouer à la couturière, comme les petites filles. Et la petite fille va me montrer le trésor qu’elle cache dans sa culotte. Après, on jouera au docteur, tu veux bien ? Je te mettrai mon thermomètre. C’est à ça qu’on joue avec une petite fille vicieuse. Mais elle va d’abord me montrer sa chatte.
— Crève, salaud !
— Oh, le vilain mot ! Mais non, ne te tortille pas, ça ne sert à rien et tu n’as aucune raison de refuser de montrer les choses merveilleuses dont tu peux être fière. Tiens, regarde comment on opère la mise à mort d’un pantalon de jogging.

Les ciseaux entament l’élastique à la taille et découpent le tissu jusqu’à la cheville, le long de la jambe droite. Elle se remet à pleurer, mais rien n’y fait : les ciseaux procèdent de la même manière avec la jambe gauche du pantalon. Il ne lui reste plus qu’à tirer vers lui le pantalon coincé sous les fesses de sa propriétaire et le jeter du lit.
Il marque alors à nouveau un temps d’arrêt.

— Tu es magnifique. Les anges et les démons se massacreraient pour te posséder.

Ses mains parcourent en caresses douces et légères le corps immobilisé, partant des chevilles, remontant sur la face interne et si tendre des cuisses, flattant le ventre, s’attardant sur les seins, puis jusqu’à son visage. « Ces mains… Nooon ! Oh, le salaud ! » Elle se sent sur la pente dangereuse et se trémousse inutilement pour échapper aux caresses. Puis les mains redescendent pour arriver à la fourche de son corps. Elles s’arrêtent sur le pubis, puis descendent encore un peu… Elle essaie de resserrer les cuisses lorsqu’une des mains arrive au but et malaxe la chatte à travers le slip.

— Il reste une petite formalité, dit-il en reprenant sa paire de ciseaux. Ça va, tu tiens la route ? Je me suis réservé le meilleur pour la fin. Je m’inquiète pour toi : tu n’as pas un peu chaud entre les cuisses ? Je pense que tu es trop couverte.

Pendant qu’elle l’insulte, il découpe le slip bleu au niveau de chaque hanche et découvre enfin la merveille en rabattant le pan avant sur la couette du lit. Les ciseaux rejoignent la moquette. Il passe sa main sous son genou gauche et tire la jambe vers lui pour bien lui ouvrir les cuisses. Ce qu’il découvre est fabuleux ; il en est ébloui ! Il aimera ça jusqu’à la fin du monde : une douce prairie châtain sur une colline bombée, des lèvres charnues, pulpeuses et bien dessinées autour d’une fente riche de promesses.

— Oh, cette chatte ! Elle est déjà belle quand elle est encore sous le slip, mais là… Et elle a dû en connaître pas mal, des bites. Raconte un peu, je veux l’entendre !
— …

Il lui montre le cutter. Les larmes aux yeux, elle murmure :

— … oui, oui, des bites… plusieurs.
— Beaucoup, ou pas assez ? Avoue tout, sinon…
— … pas assez… pas assez… C’est ça que tu voulais entendre ? T’es un porc !

Le trésor est à portée de sa main. Elle tressaille lorsqu’elle sent les doigts la toucher. Des doigts qui lui coincent les lèvres sur son bouton et font rouler celui-ci avec délicatesse. Elle pressent qu’elle va connaître un problème pour conserver l’impassibilité qu’elle veut s’imposer. Ce salaud sait y faire.

La situation empire lorsqu’un doigt s’immisce entre les grandes lèvres et parcourt la fente inlassablement, de haut en bas, de bas en haut. Elle craint alors de ne pouvoir contenir les contractions involontaires de son bassin qui ne tarderont pas à se manifester. La situation dégénère lorsque le doigt atteint son bouton qui répond d’instinct en grossissant et durcissant encore plus. Elle essaie de faire le vide dans son esprit, mais la tentative reste vaine ; d’autant plus vaine que deux doigts de l’autre main passée sous sa cuisse maintenue ouverte s’enfoncent dans son fourreau de chair tendre où ils entament un insupportable mouvement de piston.

— Tu commences sérieusement à mouiller. Un bout de bois, disais-tu ? Non, un vrai radeau ! Pour une femme qui ne veut pas collaborer, tu te poses là : tu es toute trempée. Je suis content que tu réagisses sainement.
— Je t’en supplie, arrête ! Il est encore temps. Nooon, ne me fais pas ça ! Je veux pas, je veux pas !
— Menteuse, dit-il en accélérant les mouvements de piston. Mais oui… là… je te sens venir, tes cuisses tremblent… ton bassin se soulève… c’est bien… oui, tu viens ! Laisse-toi aller... oui… jouis !

Elle est débordée par la vague de plaisir. Le visage hagard, yeux grand ouverts, elle se tétanise, tente de s’arc-bouter et pousse une plainte qui se termine en sanglots. Une abondante eau du plaisir a inondé le dessus de la couette.

À partir de ce moment-là, les choses s’accélèrent. Il est déjà sur elle, entre ses cuisses. Il tient son membre pour bien le positionner entre les grandes lèvres congestionnées.

— Comme un bout de bois, t’as dit ? On va voir si le bout de bois résiste à la deuxième attaque. Et tu vas d’abord, ma toute belle, demander la queue.
— Jamais, salaud, jamais !
— Le cutter ?
— …
— Demande la queue !

Elle se remet à pleurer et, entre deux sanglots, abdique :

— … Oui, la queue. La queue, sale porc ! Termine ton boulot dégueulasse, et qu’on en finisse, ordure !

Elle ferme les yeux et sent l’engin volumineux la pénétrer sans ménagement. Cette queue qu’elle avait, malgré son stress, admirée l’instant d’avant, elle la sent la remplir, elle la savoure contre son gré. C’est une déferlante de coups de reins brutaux qui se succèdent.
Et ces obscénités murmurées à son oreille, qui l’excitent :

— Tu le sens, le thermomètre du bon docteur ? Tu sens comme tu aimes une queue, quand elle rentre et sort, bien dure, bien chaude… Lààààà… Encore… Jusqu’au fond ! Tu sais très bien que tu es une salope qui adore se faire queuter, alors savoure. Hein c’est bon, ça… Ouvre encore les cuisses ! Viens chercher la bite, viens… pousse… pousse en avant.

Elle sait qu’elle n’y résistera pas, elle se sent aspirée vers les sommets. Alors autant oublier effroi et indignation, et savourer une chose certes imposée de la manière la plus abjecte, mais qu’elle aime par-dessus tout. Elle s’ouvre encore et pousse en avant. Au fur et à mesure du pilonnage elle s’abandonne complètement, et la brusque giclée de sperme la transporte au-delà de l’horizon du plaisir. Puis la fièvre retombe.

Il est allongé sur le flanc à côté d’elle. Elle est toujours couchée sur le dos, attachée au lit, cuisses et bras écartés. Elle semble récupérer. Yeux mi-clos, elle se demande comment cela va se terminer. Elle craint la suite : va-t-il la sodomiser ?

— T’es plus qu’un bon coup. Je crois que je vais remettre ça, tellement ça m’a plu. Une chatte accueillante comme la tienne en redemande. Mais d’abord, je vais un peu bavarder avec toi. On va voir si ça t’excite d’entendre et de dire des cochonneries en te faisant branler. J’ai quelque chose qui va nous aider.

Il plonge à nouveau vers sa veste et en sort un honorable godemiché ainsi qu’un flacon de lubrifiant dont il verse une partie sur l’engin qu’il enfonce ensuite, par délicats à-coups, dans le vagin ouvert. Elle grimace mais ne se contracte pas pour s’opposer à l’intrus ; d’ailleurs, elle ne le pourrait plus. Elle se laisse faire en feignant l’impassibilité. De toute façon, elle n’en est plus à une avanie près. Peu à peu, les mouvements de l’engin prennent un rythme qu’elle commence à savourer… à vraiment savourer… Jamais elle n’avait été godée. Elle se mord les lèvres pour étouffer le moindre gémissement.

— Raconte-moi : en dehors de ton mari, t’as baisé avec qui, la dernière fois ?

Elle sait qu’avec un pareil supplice entre ses cuisses, elle n’arrivera pas garder le silence. Elle tente le mensonge.

— Avec… avec personne.
— Menteuse. T’as dit que t’avais déjà connu plusieurs bites. Tu sais comment on les punit, les menteuses ?

Il met le vibrateur en marche. Elle tressaille, les vibrations lui dévastent la chatte. C’est abominablement délicieux.

— Avec qui ?
— Per… personne… Tu me rends folle, t’es un salaud ! dit-elle en agitant la tête de tous côtés.

Il augmente la puissance des vibrations et lui resserre les cuisses autant que faire se peut.

— Avec qui, salope ?
— Avec… avec ton copain.

Elle succombe, elle ne peut plus opposer aucune résistance.

— Antoine, ou Paul ?
— Antoi… euh… Paul.
— T’as baisé avec les deux ?
— …

Il augmente encore le volume des vibrations.

— Avec les deux ?
— … oui… ouiiii… avec les deux.
— Les deux en même temps ?
— … ouiiii.
— T’as aimé leurs bites ?
— … arrr… oui… j’ai aimé… Oh putain, c’était boooon…
— Tu les as sucés ?
— … oui… oui… j’les ai sucés.
— Ils t’ont giclé le sperme où ? Où ? Dis-le !
— … dans la bouche… dans la chatte… sur les nichons.
— Ils t’ont bouffé le cul avant de te tringler, ou après ?
— … a… avant… avant et après.
— Ils t’ont fait jouir ?
— … oui… oui… fait jouir… beaucoup… beaucoup de fois. Salauuuud, t’aurais aimé voir ça, hein ? Oh, ça vient… ouiiii… ça vient… Je jouiiiiis !

Tétanisée, arc-boutée, secouée de spasmes, elle hurle et défonce les nuages.

Sans attendre, il sort le godemiché du vagin et se recouche sur elle. Il lui enfonce brutalement sa queue et la pilonne comme une bête. C’est reparti, mais elle est tellement folle de baise qu’à ce moment plus rien d’autre ne compte pour elle.


* * *



Après la tempête


— Je dois te féliciter : j’ai rarement joui autant de fois, et aussi fort. T’as eu une idée de génie en proposant ce cinéma pour varier le quotidien ; je n’aurais pas cru. C’est vrai que je t’avais plusieurs fois avoué ce fantasme, mais là, t’as été génial. Merci, merci, t’es un amour de mari, dit-elle en l’embrassant. Mais maintenant se pose la question : qu’est-ce qu’on fera pour imaginer encore mieux, la prochaine fois ?
— J’y ai déjà pensé, dit-il en lui caressant d’un doigt le mont de Vénus ; ça te dirait de te faire violer par plusieurs gars ?
— Plusieurs ? Oh, le salaud !... Chiche. Quand ?
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Message par Lioubov Mar 28 Juin 2016 - 9:53

Peux-tu me donner une date approximative pour la publication de ce texte, Calafia ?
L'auteur est sans nouvelles, et il s'inquiète.
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Message par Calafia Mar 28 Juin 2016 - 10:16

29/09, ça vous va ?

sinon j'ai laissé un peu l'admin du site pour le moment
je pensais faire un tir groupé auprès de nos 3 candidats jeudi soir ou vendredi
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Message par Lioubov Ven 14 Oct 2016 - 16:42

Rectification, Calafia : il ne s'agissait pas des deux textes précédents, mais de celui-ci, Une journée mouvementée.
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